Nom × Kidwelly Prénoms × Zack Date & Lieu de naissance × Le Caire en 1991 Age × 22 ans Orientation sexuelle × Dollarosexuelle Statut civil  × En couple avec sa main Parent divin  × Hermès Age d'arrivée au camp × 16 ans Responsabilité au camp × Pensionnaire, il a la grande flemme de prendre part à des décisions . Reconnu ou non × Reconnu Cohorte / Bungalow × Le 11 avec les enfants non-reconnu ( J'ai réussi à m'avoir un lit !) Armes de prédilection × l'épée courte Objet magique × des chaussures volantes que mon père m'a offert  Défaut fatal × Noctambule, il ne sait pas lui-même pourquoi, même s'il affectionne les ombre, la clarté de lui est pour lui une plus douce lueur que le soleil ardent, il adore vivre la nuit et dormir le jours, même si sa vie ne le permet pas. Il voudrait le faire, cependant il doit se contenter de veiller tard. Groupe × Intellect

Je suis né au Caire, ou devrais-je dire la grande ville du Caire. Je n'ai jamais connu mon père ou ma mère. Ils m'ont abandonnée, c'est l'Orphelinat du Caire qui s'est occupé de moi jusqu'à ce que je m'échappe avec des amis. Je n'avais aucune envie de rester dans ce lieu clos et de vivre selon d'autres règles que les miennes. J'adorais ma vie avec les autres, de ravage en pillage, nous menions la grande vie, nous étions les quarante voleurs du Caire. Nous étions que des gosses, mais nous étions sûrement les meilleurs voleurs de toute la ville et qui sait du monde ? Des rêves pleins, la tête, nous étions les seigneurs d'une humble usine en ruine aux abords de la ville où nous entassions ce que nous avions volé. Bien sûr que je n'étais pas le chef de la bande, qui aurait envie d'avoir un chef quand on est libre ? Personne. On peut dire que j'étais conseiller, ou ce qui s'en rapproche le plus. Je travaillais avec Malik l'agile, Athul l'énorme, Sami le terrible, Mohamed le gigantesque, tandis qu'on m'appelait « Mustafa ! Ils arrivennnnnt ! »

Mustafa s'éveilla tout de suite et par une pirouette agile, il se jeta en bas tandis que les autres enfants s'agitaient aussi. Il y avait peut-être trois cars de touristes qui entraient en ville. C'était peut-être le moment de se faire quelques ronds. Mustafa hurla à ses amis de le rejoindre, prêt pour un nouveau larcin, il était temps de se refaire après ces quelques mésaventures ! Ils étaient temps que les quarante voleurs dont parlent les contes soient les mêmes que ceux qu'ils étaient. Certes ils n'étaient qu'une quinzaine, mais la qualité est leur force. Mustafa avait tout prévu avec les autres équipes. Ils allaient se séparer et occuper les touristes pendant que l'autre moitié leur feraient les poches ! Il avait eu ce plan de génie, tout seul. Ils vidèrent les lieux et voilà que la bande s'éparpilla dans les rues en criant et en faisant du ramdam comme à leur habitude. Mustafa partit sur la droite avec sa bande tandis que ceux qui devaient les occuper partir sur la gauche, une fois encerclée, leurs proies seraient prêtes à être mangées. Mustafa observait ce qui se tramait, histoire de voir si tout était prêt et tout l'était. Il marcha doucement vers ses hommes pour donner le signal. Il attendit un peu, vérifiant encore que les autres avaient commencé leurs travaux. En effet, ils avaient commencé, les touristes approchaient et s'attroupaient. Mustafa abaissa le bras, donnant le signal pour la charge. Tous les voleurs chargèrent joyeusement les brebis. Chacun avait un rôle particulier, certains volaient les montres, d'autres les portes-monnaies, d'autres encore volaient les sacs à main et les bijoux. Mustafa lui ne prit pas part aux rapines. Il venait de s'arrêter à quelque mètre d'une statue gigantesque, il était comme troublé. Il y avait quelque chose de bizarre avec cette statue. Les lettres s'inversaient, elles devenaient bizarres, comme s'il avait toujours compris ce langage.Il s'approcha doucement de la statue, comme absorbé par elle. Il ne regardait plus derrière ou devant lui, les bruits avaient cessé, ce qui l'intéressait, c'étaient les inscriptions sur la statue en pierre. Il approcha sa main et la posa dessus lisant à haute voix « Ptolémée, roi d'Égypte » Mustafa gratta la pierre avant que quelque le secoue « Mustafa qu'est-ce que tu fais la police arrive ! » Il sortit de sa petite transe et se retourna vers la menace qui arrivait à grands pas. En effet, la police venait de bloquer trois issues sur quatre. Mustafa agita son bras et fît signe à tout le monde de venir près de lui. Il leva les yeux devant lui se trouvait le musée, il devrait y avoir des sorties par ici. Il s'élança vers le musée suivi de quarante voleurs et ils traversèrent l'entrée à toute vitesse, réveillant au passage le vigile qui dormait à l'entrée et ils trouvèrent une sortie par une aire de déchargement. Ils la traversèrent et ils se dispersèrent dans toute la ville. Mustafa venait de faire le tour de deux ou trois rues avant qu'il décide de prendre le chemin du retour. Il s'avança vers le bout de la ville et le longea, silencieux tandis que ses hommes se réjouissaient et contemplaient leurs butins. Une fois au repaire. Tout le monde commença le partage. Il y avait des montres, des portes monnais, des sacs à main qu'on dépouillait de leurs contenus. Mustafa observait le tas de richesses comme incrédule. Comment avait-il réussit à lire du grec ancien. Il aurait pu se demander cela, mais quelque chose l'intrigua. Il compta un instant et se releva. Il manquait un voleur ! Où était-il ? Il fallait s'assurer qu'il n'était pas aux mains de la police. Mustafa leva son regard vers les fenêtres cassées et chercha un 40e camarade des yeux. Il allait descendre lorsque ce dernier arriva en courant, affolé. Mustafa descendit lorsqu'un des voleurs hurla, « C'est Ali ! » Ils s'empressèrent de l'accueillir lorsque celui-ci leur annonça que la police avait trouvé leur repaire et qu'ils arrivaient pour les en déloger. Mustafa resta calme à l'inverse du reste de la troupe qui commençaient à s'agiter. Il leur hurla de prendre la fuite et qu'il les retiendrait. Ce geste avait eu raison de leurs excitations et chacun choisis d'emporter une part du butin. Il s'élança vers la grande porte de l'entrepôt et la ferma tandis que ses frères s'évadaient par une petite issue. Il tira sa raquette de tennis qu'il avait volé à un touriste espagnol. Ses quatre derniers frères s'approchèrent de lui et lui donnèrent l'accolade pour des adieux. Ils savaient que le petit Mustafa à peine dix ans mériteraient sûrement la prison, mais Mustafa s'en fichait. Le groupe primait sur l'être. Il fallait protéger la liberté de ses frères. Il saisit ferma la grande porte avec des chaînes et il souffla un instant, jusqu'à ce qu'il n'y ait que lui. Là, il souffla et tira son vieux sac et y fourra tout le butin qui restait. Il n'allait quand même pas partir avec les poches vides, il observa un instant son passage secret et il rampa dans le petit conduit qui le ferait sortir de l'entrepôt. Le conduit était étroit et il devait traîner son petit sac derrière lui, il repoussa quelques broussailles et le voilà dehors, mais, il y avait un petit souci, il venait de sortir devant une patrouille de police qui l'observait maintenant, arme en main. Ils lui hurlaient dessus, Mustafa ne protesta pas. Il leva les bras et lâcha son sac. Ils n'attendirent rien moins. Ils le saisirent et l'amenèrent au poste. Il passa de longues heures à dire qu'ils n'avaient rien fait, qu'il n'avait pas de parent et qu'il n'appartenait à aucun, réseau de voleurs. La police fut clémente, ils décidèrent de l'emmener à l'orphelinat après tout, c'est là où un gosse de son âge avait sa place. Ils le laissèrent à l'orphelinat principal du Caire qui était bondé. Il aurait été facile de s'échapper, Mustafa avait tout prévu pour ce soir.

Mustafa était descendu de la grande voiture de police, il avançait maintenant vers sa sombre prison. Il leva les yeux sur l'entrée, gigantesque, un portail en fer forgé. Il aurait du mal à l'escalader. Il y avait deux vigiles à l'entrée. Il semblait empêcher quiconque d'entrer ou de sortir sans autorisation. Mustafa, regarda à droite puis à gauche puis, il s'avança vers l'entrée. Les policiers discutèrent un moment avec l'un des vigiles pendant que l'autre les regardait du coin de l'œil. Mustafa hocha la tête, silencieux. Le premier vigile sorti, son talkie-walkie et parla d'une voix calme. Le petit garçon était trop loin pour entendre, ses quatre tortionnaires, mais ils semblaient lui concocter un programme salé. Une vieille femme d'une cinquantaine d'années, cheveux blancs, une tenue salis par la poussière, mais un collier en or impeccable. Mustafa l'avait en vue. Peut-être qu'il arriverait à le voler avant de se tirer. Il fit à son arrivée une petite mine comme une petite chose fragile pour l'amadouer. Elle lui servit tout un discours sur des choses comme le bien et le mal, le règlement des lieux, la chance qu'il avait de ne pas être en prison. Il baissa instinctivement la tête comme pour montrer qu'il était coupable, mais il n'afficha cependant qu'un petit sourire. Heureusement pour lui, personne ne pouvait le voir. Il avait manqué cruellement de chance ce matin, alors peut-être que l'après-midi, il aurait plus de chance ? Peut-être... Il s'installa sur un vieux matelas dans ce qui semblait être les dortoirs. Il y avait du monde partout et tous les lits étaient semble-t-il, prit. Il observa un instant les fenêtres qui ne semblaient pas être une issue, protégée par des barreaux. Il aurait voulu s'enfuir par là, mais il devrait trouver une autre issue. Il se leva avec son sac, pour éviter que quelques-unes de ses affaires disparaissent et il s'avança vers la cour, traversant les couloirs, il laissa traîner sa main sur les murs, caressant la pierre dure. Il songea un instant que creuser un tunnel serait trop long et ferait trop de bruit. Il arriva en bas, lorsqu'une voiture blanche se gara devant l'orphelinat. Il pencha la tête sur le côté comme interpellé. Il alla doucement s'asseoir non loin de l'entrée de la cour, près d'un palmier. Il fixa le ciel, puis les gens qui descendaient de la voiture. Ils arrivèrent à l'entrée et présentèrent des papiers aux vigiles qui les laissaient entrer. Mustafa les fixa : la première était une femme bien parée avec une robe sûrement cousue main. Le deuxième était un homme, peut-être riche avec sa mallette et une paire de lunettes de soleil en or. Ils avaient l'air amical, mais sans plus. Mustafa ramena ses jambes contre lui et fixant ses jambes, il enfonça sa tête dedans. La voix calme de la directrice se faisait entendre alentour « Vous pouvez choisir celui que vous voulez... Contre notre arrangement » Mustafa releva doucement la tête lorsque le doigt de la femme se posa sur lui dans un cri amical « Regarde celui-ci, on dirait qu'il est européen... C'est possible ? Et puis, il a une mine trop adorable ! On prend celui-là ! » La directrice avisa Mustafa du regard et hocha la tête. Elle signa les papiers et voilà que Mustafa était embarqué comme un sac vers la voiture par la femme. Elle lui tirait gentiment la main, mais quand même. Il arriva devant la porte et il hésita un moment. Elle lui annonça doucement d'un arabe mal prononcé, qu'il ne devait pas avoir peur. Il entra doucement dedans et s'installa sur un siège lorsqu'elle referma la portière. Il attendit un peu et sa nouvelle mère vint le rejoindre avec son nouveau père. Ils commencèrent à converser avec lui dans sa langue d'origine. C'est comme ça que Mustafa est parti pour les États-Unis d'Amérique. Ils étaient passés au tribunal pour changer son nom à leur arrivée et de Mustafa Al Kemal, il était devenu Zack Kidwelly, le fils adoptif de Rébecca Kidwelly et de Brandon Kidwelly.

La vie au U.S.A avait été dure au début. Il ne parlait pas leurs langues alors, son père l'avait envoyé converser avec un interprète de l'ambassade d'Egypte en parallèle de ses études à l'école. Il avait souvent du mal à se concentrer, mais, à force de quatre longues années, il parlait couramment l'Anglais sans accent et sans difficulté. Il se souvenait de l'Arabe, c'était une partie de Mustafa, mais il n'était plus lui. Il était un nouveau garçon : Zack. Zack, lui n'avait pas besoin de voler, il était entouré d'amour de sa mère, qui ne cessait de lui demander si tout allait bien. Il était aussi entouré d'amour de son père. Zack découvrit progressivement que ses parents étaient des gens très riches. Son père travaillait à la bourse de Wall Street et gérait une compagnie achetant de l'or et le revendant, autant dire qu'en ce moment à la bourse, son père faisait un malheur. Il avait même promis à Zack qu'il prendrait sa suite. Il avait vécu comme un petit prince, avec des amis normaux, des copines normales, cependant cette histoire de grec ancien reviendrai bientôt à la veille de ses seize ans.

Zack dormait paisiblement lorsque la lueur du jour l'éveilla. Il ouvrit les yeux avant de se tourner lorsque Jack, le majordome entra dans sa chambre. Il le réveilla en lui annonçant que son père était rentré pendant la nuit. Zack sourit et se leva en lui souhaitant le bonjour. Il enfila un T-shirt et un short avant de sortir pour prendre son petit-déjeuner. Des œufs cuisaient déjà dans la cuisine et déposaient leur odeur significative dans le reste de la pièce se mêlant à l'odeur de bacon qui cuisait dans une autre poêle. Zack embrassa sa mère sur la joue dans un bonjour joyeux et il s'enfila une tartine de beurre pendant que son père lisait comme toujours le journal. Zack salua son petit frère, Liam, que ses parents avaient adopté il y a peu. Liam était originaire d'Inde, il parlait souvent dans sa langue natale, mais personne ne lui en voulait. Il semblait si petit maintenant pour son grand-frère qui avait temps grandit. Zack adorait revoir les photos de sa vie d'avant. Il se souvenait progressivement de sa vie au début dans la maison. Il conservait tout ce qu'il trouvait dans sa chambre, au cas où la nourriture viendrait à manquer, il adorait contempler les objets en argent plus que la télé. Et tout était différent, le climat, les gens, ils semblaient plus beaux, plus amicaux, plus riches. Il adorait cette vie, elle était emprunte de douceur, de bien-être pour lui. Il avait eu quelques copines et ils avaient des potes, mais aucun n'était plus important que son meilleur ami avec qui il faisait les quatre cents coups : Chris Rockmountain. Il faisait peut-être trois têtes de plus que lui, mais il était le seul à comprendre l'envie de Zack de faire tout et n'importe quoi, seulement histoire d'essayer. Ils s'étaient fait arrêter plusieurs fois au poste pour avoir fait tout et n'importe quoi, mais c'était toujours resté dans la limite du raisonnable. Lorsque Zack avait découvert internet, il avait par miracle appris à s'en servir mieux que ses parents et surtout à pirater ceci, et cela, rien que pour s'amuser. Il s'amusait surtout à pirater des messageries et des ordinateurs du lycée, mais il testait ses capacités sur des réseaux plus protéger comme des réseaux d'ambassades. Il aurait pu travailler dans l'informatique, mais lui ce qu'il adorait, c'est faire des acrobaties dans la rue, avec sa planche à roulettes. Il faisait de magnifiques Holly bien au-dessus de ceux des autres. Le Skatepark était devenu son repaire quand il n'avait pas cours. Il s'amusait avec tous ses potes, quand il ne passait pas son temps à vivres pleinement sa vie d'ados. Et ce soir, ce serait son seizième anniversaire ! Ses parents devaient avoir prévu une grosse surprise. Il avait hâte d'attendre ce soir. Il finit son petit-déjeuner et s'élança sur son Skate dans la rue. Il traversa la route jusqu'au Skatepark où il rejoignit ses potes qui faisaient tout et n'importe quoi sur leurs skates. Zack fit quelque figure pendant la matinée et après avoir mangé en ville, il se balada avec ses potes avant d'arriver devant une boutique d'antiquité. Il y avait des choses marquées dessus, une statuette d'Hermès. Il pouvait lire distinctement son nom sur le socle. Il y avait quelques caractères anciens qui disait « plus vite que Mercure » Zack hocha la tête même s'il n'avait pas compris et il continua sa route lorsque son majordome l'aborda au coin d'une rue. Il laissa ses potes et se dirigea vers lui. Il lui parla d'une voix claire  « Vous ne pouvez pas rentrer chez vous, ce soir maître Zack. » « Pourquoi cela Nicolas ? » « Parce que vous devez accomplir votre destin... » Cette révélation eue, l'effet d'une bombe. Qui pourrait bien en vouloir à sa vie ? Il n'avait ennuyé personne depuis son arrivée. Il chercha quelque chose de droite à gauche comme s'il pouvait prendre une autre voie pour rejoindre sa maison, mais non. C'était la seule voie. Il se retourna vers son majordome alarmé « Mais, quel destin ? » « Depuis votre arrivée, je l'ai senti et vous devez le sentir au fond de vous, vous n'êtes pas un enfant ordinaire. Vos parents ne le savent pas, mais vous n'êtes pas humain, du moins en partie. » Zack s'examina un instant, levant ses deux mains devant lui, mais rien. Il répondit alors machinalement « Je suis quoi alors ? Un extraterrestre ? » « Non, vous êtes l'enfant d'un dieu... Vous êtes le fils d'Hermès... Je l'ai vu quand on m'a compté votre histoire et lorsque j'ai appris pour vos autres talents... » « Je vois... » Zack hocha la tête comme choqué par cette révélation.« Il faudrait arrêter de vider la cave de mon père, Nicolas... » « C'est la vérité... Suivez-moi » « Et mes parents ? » « Je leur ai dit ce matin après votre départ... Ils ont préparé ce sac pour vous et m'ont prévenu de vous dire que vous serez toujours le bienvenu chez eux et que vous serez à jamais leurs fils. » Il hocha la tête, son sang en ébullition, il y avait quelque chose qui l'appelait à suivre son majordome, qui venait de faire pousser des cornes sur son crâne. Zack retenu un cri de terreur « Ce n'est rien, ce sont justes mes cornes ! » Zack hocha la tête et il suivit la chose jusqu'à sa voiture et ils prirent l'autoroute. En discutant Zack apprit où il allait, dans une sorte de colonie pour demi-dieux... Il devrait peut-être se tirer de la voiture à la prochaine station service, mais il n'en ferait rien. Il était comme cloué sur son siège. Il aurait voulu s'enfuir, s'envoler, disparaître, mais rien ne se passa. Zack apprit aussi que son majordome était un Satyre, qu'il le surveillait depuis un moment. C'est à ce moment qu'il arriva dans la colonie et qu'il posa les pieds sur son destin.